Des fois j’oublie des , d’auters fois je mélnage leurs lettres.

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Cake day: June 23rd, 2023

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  • I’am pretty sure you get what I mean. I can’t speak in the name of the guy and since he didn’t developed his point or give references I can only assume what he mean’t and I can be wrong, yet the statement in itslef is not wrong.

    I developed a bit more my point and gave you a reference that leads to more references if you find the subject interessting…

    It’s kind of ironic from you to complain about and empty conversation and do the exact same thing right after.


  • Our boy Socrates was 2200 years too early, he might have learnt from ours boys Charles Fourier, Bakunin, Marx and others that democracy is never an accomplished regime, it needs to be defended at all time in a ceaseless battle against the worst parts of mankind, against our own turpitude and weakness, it’s an everlasting revolution that dies as soon as it starts to be content with itself.












  • J’ai un rapport particulier avec reporterre. Je partage globalement les critiques qui sont formulées dans ce papier (confusionnisme, homéopathie, bienveillance envers Rabhi ou l’anthroposophie, sur la Russie etc…) mais j’aurai pas tendance à tout jeter non plus.

    Déjà, faut situer d’où L’Express fait ça critique : c’est un journal plutôt libérale et productiviste qui parle d’écologie et de catastrophes et problèmes qui se multiplient plus en les cataloguant et qui défend plus une ligne “techno solutionniste” et “anti radicale”. C’est qui explique pourquoi il est présenté dans cet article que ce qui permet de confirmer le propos, et centré sur la figure de Hervé Kempf. Par exemple, lié aux problèmes du confusionnisme avec la complo/fachosphère, il y a également des articles publiés récemment qui vont dans le sens inverse, comme ce portrait Qui est Roger Hallam, l’inspirateur sulfureux de Dernière rénovation ? ou des papiers sur appropriation des discours écologiques par l’extrême droite… Ça ne change en rien les problèmes soulevé mais le paragraphe “Discours des dominants” semble a demi-mots faire passer la critique anticapitaliste comme étant du même acabit confusionniste que les points soulevé dans l’article…

    Tout ça pour dire qu’en ayant en tête certains biais problématiques on peut quand même y trouver des choses utiles chez eux, notamment la rubrique “alternatives”

    J’ai pas de recommandation de médias et site axés sur l’écologie à te proposer qui ne soient pas marqués politiquement. Je pense d’ailleurs que les medias qui traitent ces sujets qui prétendent ne pas l’être sont malhonnêtes.

    Je peux donc te proposer

    Terrestres" Terrestres est la chambre d’écho des livres, des pratiques et des idées qui redonnent des mondes et des écologies à la politique, au social et à la culture. Essais, recensions, fictions, poèmes et formes hybrides : nous accueillons les textes qui aujourd’hui animent les milieux universitaires autant que militants, les espaces publics autant que les expériences intimes, susceptibles de nous restituer la Terre qui nous manque."

    Vert “est un média indépendant d’actualité sur l’écologie. La newsletter quotidienne de Vert raconte toutes les informations les plus importantes sur l’écologie, avec des articles courts et simples, des brèves, des infographies et des vidéos.”

    bon pote

    La relève et la peste

    Podcast :

    LIMIT “Le podcast qui te parle des limites planétaires · Dans cette série, Vinz part à la rencontre de scientifiques et de spécialistes. On parle avec eux de planète, énergie, climat, biodiversité, décroissance, futurs ou encore de politique.”

    Greenletter club “En 2019, on s’est pris une claque. On est tombé sur cette étude. Sa conclusion ? 1% des sujets des journaux télévisés parlaient du réchauffement climatique. Oui, 1%. C’est peu. Surtout quand on pense que la crise climatique est - sans doute - le plus grand défi de l’histoire de l’humanité. Alors on s’est dit qu’on devait faire notre part. Et en janvier 2020, on a créé - au sein du groupe MyLittleParis - le Greenletter Club.”

    Présages "Présages, ce sont des conversations, des idées pour nourrir l’esprit et remettre radicalement en question l’état de notre monde. On y parle d’écologie, dans son acception la plus large. De l’urgence climatique et des effondrements en cours. Mais on y parle donc aussi de justice sociale, de capitalisme, des rapports de domination et de pouvoir, et des lignes de tension qui agitent notre modernité.

    Pourquoi un podcast sur ces thématiques complexes ? Est-ce que ce n’est pas un peu anxiogène ? Est ce que vous n’avez pas plutôt envie d’écouter des histoires positives, qui vous tire hors de la réalité obscure du monde ? Ces fameux “nouveaux récits” qui auraient le pouvoir magique de transformer le monde "


  • Malheureusement, les écologistes qui ont une approche scientifique (Jancovici…) sont très peu nombreux.

    Jancoco (que j’apprécie avec des réserves) à plus un approche techniciste d’ingénieur, pour le coup froid, que de scientifique à proprement parler. Les écologistes ont généralement des approches scientifiques des problèmes en question mais considérer principalement (voire uniquement) que les solutions à apporter sont simplement « scientifique » ca mène nulle part.

    Les écologistes qui ont une approche scientifique ou des scientifiques qui sont des « écologistes » ne sont pas aussi peu nombreux comme tu sembles le penser. Ils sont assez peu visibles et parfois (souvent) caricaturés. Il y a de plus en plus de scientifiques qui s’engagent ou soutiennent explicitement les mouvements écologistes. D’une manière général, les rapports qu’ils produisent ont souvent une dimension politique très fortes mais elles sont souvent passées à la trappes au moment d’être transmises au grand public quand elles ne sont tout simplement pas niées par les responsables politiques.

    D’autant qu’une « approche scientifique » ça veut tout et rien dire parce que ce qu’on fait de la connaissance scientifique et des technologie n’est jamais neutre.

    Dès qu’il s’agit de choix collectifs on entre dans le champ du politique. Les solutions résultent d’abord de choix et de visions politiques qui ne peuvent uniquement se penser en considérant les paramètres physiques et/ou bio-chimiques.

    C’est un peu le problème que j’ai avec Jancovici, il a pour ambition de proposer une vision systémique basée sur la « Science » mais limite ses considérations scientifiques à la physique et la climatologie et autres « sciences dures » et ignorent totalement l’apport (nécessaire) qu’apportent les sciences sociales pour se faire une pensée systémique.

    Il semble également penser que « les chiffres qui ne mentent pas » devraient suffire à terme pour faire prendre conscience de l’ampleur du problème et de la nécessité de changement à tous les esprits rationnels et scientifiques comme si l’état catastrophique actuel du système Terre n’est que le résultat de l’ignorance. J’ignore toujours si c’est par naïveté ou prétention qu’il pense qu’en faisant reculer cette ignorance avec son discours (et ses solutions) cela va amener au changement.

    En se focalisant sur les constats physiques des conséquences de nos utilisations des technologies il écartent trop dans sa réflexion les causes de ces utilisations. En proposant d’abord des solutions techniques pour faire face aux conséquences des changements climatiques en répondant aux questions “comment” et “combien” on doit « produire» d’énergie, c’est un peu comme si il mettait la charrue avant les bœufs on ne posant pas d’abord les questions pourquoi (et pour qui) on produit de l’énergie aujourd’hui et pourquoi (et pour qui) on veut produire de l’énergie demain. Un autre problème que est qu’il cantonne trop les problématiques écologiques aux questions climatiques et énergétiques.

    Au final, dans les medias Jancovici était plutôt bien reçu quand sont discours était présenté comme « pro-nucléaire exemplaire de que devrait être un écologiste raisonné et raisonnable » mais dès que la partie nucléaire de son discours a été bien intégrée, n’apparaissait plus comme « novatrice » et la partie « sobriété et décroissance » devenait plus visible, son discours a commencé à être moins encensé.

    Au final, ce qu’il propose pudiquement comme modèle de société est très proche d’une forme de communisme, mais ce « communisme » se veut comme une « solution technique, rationnelle » pour organiser de manière la moins inéquitable possible notre adaptation au CC et pas le résultats de la lutte des classes. Sauf qu’il semble incapable de penser à la manière de faire advenir une telle société et encore moins les rapports de forces inégaux et conflictuels d’intérêts qui s’opposent et ne cherchent pas à faire émerger une société organisée de manière la moins inéquitable possible pour notre adaptation au CC.

    Sans oublier qu’il a une fâcheuse tendance à dénigrer presque fallacieusement les personnes pas moins scientifiques et rationnelles que lui qui estiment qu’une sortie du nucléaire est possible…

















  • Petit rappel en passant le terme de “méritocratie” n’a pas été inventé avec une connotation positive mais négative par un sociologue anglais qui entendait dénoncer les dérives possibles de ce qu’il observait déjà dans l’organisation de la société. anglais des années 1950.

    Curieusement en France le terme a bien plus à une certaine élite intellectuelle/bureaucratique/bourgeoise qui l’a volontiers repris mais pas dans son sens originale sans que le roman dans lequel est né la méritocratie soit jamais traduit en français…

    La bourgeoisie intellectuelle, une élite héréditaire

    À l’été 1957, le sociologue anglais Michael Young arpente une plage du Pays de Galles. Longtemps chercheur au sein du Parti travailliste britannique, dont il a rédigé le manifeste de 1945, il a depuis pris la tangente. Sur le sable, il rumine : onze éditeurs ont refusé son dernier manuscrit. Soudain, il aperçoit au bord de l’eau un couple d’amis, s’arrête, évoque avec eux ce texte dont personne ne veut. Coïncidence, ses acolytes éditent des livres d’art ; et décident d’inclure l’ouvrage à leur catalogue. Son titre : L’Ascension de la méritocratie (1). Avec ce terme bricolé à base de latin et de grec, Young anticipe les sarcasmes. Cinq cent mille exemplaires écoulés en quelques années font entrer « méritocratie » dans le langage courant. Au prix d’un gigantesque malentendu.

    Car l’ouvrage de Young, rédigé dans le sillage de 1984, de George Orwell, et du Meilleur des mondes, d’Aldous Huxley, dépeint une dystopie : le cauchemar d’un monde moderne dirigé « non pas tant par le peuple que par les gens les plus intelligents ». Le gouvernement des intellectuels, en somme. L’action se situe au début de l’année 2034, et le narrateur, un sociologue boursouflé, résume avec enthousiasme la transformation de la société britannique du XXe siècle en une tyrannie exercée par les diplômés de l’enseignement supérieur. Au prétexte d’une « égalité des chances », les hiérarchies s’échelonnent désormais en fonction de l’intelligence ; l’ordre social se perpétue par l’école, qui transmute les privilèges de classe en « dons » et « mérites ». « Les talentueux, jubile le narrateur, ont eu l’occasion de s’élever au niveau qui correspond à leurs capacités, et les classes inférieures ont donc été réservées aux moins capables. » Ainsi légitimé, le régime honore ses héros. « Les rangs des scientifiques et des technologistes, des artistes et des enseignants ont gonflé. Leur éducation a été ajustée à leur haute destinée génétique. Leur pouvoir de faire le bien a été accru. Le progrès est leur triomphe ; le monde moderne, leur monument. »(…)>>


  • *Quand ils sont venus chercher les musulmans, je n’ai rien dit, je n’étais pas musulman.

    Quand ils sont venus chercher les gilets jaunes, je n’ai rien dit, je n’étais pas gilets jaune.

    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.

    Quand ils sont venus chercher les écologistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas écologiste.

    Quand ils ont enfermé les manifestants pacifiques, je n’ai rien dit, je n’étais pas manifestant.

    Moi, j’étais juste pauvre mais quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.*


  • Le sens de tout les mots n’a pas été perdu. Le mots émancipateurs, ceux qui tentent de décrire la complexité des inégalités de l’organisation de notre société, ce qui sont critiques envers nos institutions et les personnes qui les composent, ceux qui tentent de créer et construire des alternatives, tous ces mots voient leur sens attaqué mais il y a d’autre mots qui sont bien révélateur de leur projet de société, ceux dont le sens est atténué ou faussement détourné, pour faire passer un message sans l’assumer.

    Ce matin, sur télématin la présidente de l’Assemblée a fait à demi-mots un appel de pieds raciste à l’ED (à ce niveau on est plus dans la caresse érotique que l’appel de pieds) avec un sous-entendu faussement subtil entre immigration et délinquance (5’20), biens sur elle s’est bien gardé d’évoqué la précarité et des formes d’exclusion comme causes de cette délinquance… « Il y a un lien entre les violences auxquelles nous assistons et la délinquance, chez des jeunes, bien souvent issus des quartiers. Nous pourrons avoir une analyse statistique, mais la plupart du temps, ce sont des jeunes qui sont nés ici, de deuxième et troisième génération »

    Une minute plus tard, finito la subtilité à la question " est-ce qu’il y a aussi un problème avec la police" la réponse est catégorique et sans nuance, quelques minutes auparavant elle faisait pourtant l’éloge de la nuance : “non”. Pire… (6’40") : « Il faut toujours entendre toutes les organisations. La police et la gendarmerie exercent leur métier dans le respect de nos règles. À chaque fois qu’il y a un manquement, des inspections sont diligentées et des sanctions sont prononcées », affirme l’élue. « Il ne s’agit pas de jeter de l’opprobre sur une profession dans son ensemble qui exerce sa mission de façon merveilleuse »

    J’ai de plus en plus peur que même des victoires aux prochaines élections ne soient pas suffisantes pour enrayer ce processus. Je ne sais pas forcément ce qu’il faudrait de plus mais j’ai aussi peur de ne pas être assez courageux pour faire ce plus s’il finit par s’avérer incontestablement nécessaire…

    Edit : lien de l’émission, France2, telematin les 4 vérités



  • Depuis la fin de la grève et en encore plus depuis la fin la gallisation il y a un retour en force d’un certain type de trolls, il faut probablement pas tous partie de la même équipe et il doit bien en avoir un ou deux de solitaires mais on peut y déceler une convergence dans l’agenda ou du moins des idées à ridiculiser ou à diffuser/renforcer.

    Mes trois pièces de gauchiasse écoterroriste sousçonné de wokisation ou un truc du genre : une modération « nuancée » qui respecte « la liberté d’expression » « apartisane » et tout ce genre de bonnes intentions est condamnées à voir son espace pollué et finir par tolérer une forme de toxicité par fidélité à ces principes. Plus la taille de la communauté va grandir plus des profils de troll vont être attirés, certain seront de passage, d’autres s’installeront. Mais surtout ça finira par être un terrain de jeu pour les trolls professionnels, qu’ils soient des astroturfeur politiques (surtout pendant des périodes pré/électorales), au service d’intérêts économiques ou de puissance étrangère (coucou la Russie).

    Pour préciser mon propos je vais faire la parallèle avec la toxicité de r/france à laquelle d’une certaine manière je participe et je me passerai bien de faire la même chose ici.

    Une communauté d’une certaine va forcément attirer des convoitises des la part de différents groupes qui cherchent à promouvoir des idées qui leur sont favorables à leurs activités/ambitions ou à l’inverse verser dans la confusion et la désinformation pour réduire la portée d’informations et idées qui iraient dans le sens inverse. Gardons en tête le scandale Avisa Partner ou tout simplement les armées des trolls de la Russie (la Chine, en autres, a sûrement la même chose) qui défendent tout son contraire pour amplifier les tensions ( ils ont quand même réussi à participer à l’organisation le même jour de manifestation pro et anti indépendance de la Catalogne…).

    Bref, j’ai déjà situé mon profil et dit que je participais à une certaine toxicité sur r/france, mais pour défendre des idées qui ne sont pas celle de « la pensée » dominante c’est difficile de faire autrement tant le choix d’essayer d’avoir une modération « nuancée » qui respecte « la liberté d’expression » « apartisane » et toutes ce genre de bonnes intentions ne permet pas de se prémunir des trolls organisés autour d’un agenda ou des individus trollesques qui s’engagent de mauvaises fois à grand renfort de sophisme, de caricature et d’élément de langage très creux.

    Je vais prendre des exemples tirer de mes interactions sur r/france sur des sujets politiques pour expliciter un peu mon propos. Pour les sujets liées à l’écologie en particulier quand ça touche l’agriculture on a un certain nombres de comptes qui jouent de la confusion, de la caricature voire des fausses infos sans cherhcer à échanger honnetemnt sur les différences d’opinions. Il y a quelque années déjà était sorti un papier dans la presse sur les trolls de Monsanto qui sévissent sur les réseaux dont reddit (même si c’était sur dans le monde anglophoe). Plus gênant, ils font jamais l’effort de préciser leur propre pensée ou de fournir de sources pas totalement biaisées (on a parfois des thread twitter de personnes du monde de l’agro-industrie pour « contrer » l’avis de scientifique). Ca a été (et l’est encore un peu) avec les méga-bassines de Ste Soline en diffusant la fausse idée que le BRGM a fait un rapport qui s’y disait favorable. C’est le cas quand des articles de Stéphan Foucart, journaliste du Monde qui travaille sur les sujet de l’agriculture notemment des pesticides sont partagés, il va être systématiquement dénigré comme un hippie anti-science dans le but de discrédité ce qui est dit dans l’article, bien sur quand on demande des précisions sur ces informations, on en a jamais). Sur à peu prêt tout ces sujets il y a sur r/france des utilisateurs qui vont caricaturer/transformer la position adversaire, ignorer certains arguments et jamais s’engager dans un échange constructif. Pareil, pour les critiques du gouvernements et le relais de la caricatures d’extrêmes gauche de la Nupes… Plus récemment on a eu le partage d’un article du point sur la perte d’agrément d’anticor, où certain de ces profils trolls se sont jetés dessus en bonnes charognes en utilisant cet article pour dire implicitement qu’en fait anticor c’est des méchants et les personnes poursuivies serait peut être finalement des gentilles leurs victimes. J’exagère à peine, cet article est un vrai torchons dans lequel un argument avancé et repris sur reddit est l’avis d’une personne qui a été condamnée pour prise illégale d’intérêts après une plainte d’Anticor sans préciser qu’elle a été condamnée pour prise illégale d’intérêts après une plainte d’Anticor…

    Ce message est déjà peut être trop long mais j’espère avoir pu transmettre mon ressenti.

    Je ne suis pas modérateurs, bien que je sois curieux de ce genre d’expérience, je n’ai ni le temps, l’énergie probablement pas les compétences non plus pour l’être, je ne peux qu’imaginer que décider d’être stricte « au-delà  de la simple liberté expression » ne doit forcément être agréable et c’est s’exposer à des nombreuses insultes et remarques faciles et désobligeante mais je vois pas comment éviter que cette communauté se fasse intoxiquer avec le temps surtout si sa taille grandit avec une modération « ouverte à la nuance » comme sur r/france.

    L’avantage d’avoir une communauté encore relativement petite c’est peut être qu’on peut aider/construire ensemble les sujets et comportements considérer comme toxiques ?