Une organisation française de défense des droits des artistes a exprimé sa solidarité avec les 160 000 acteurs américains en grève et sa crainte quant au remplacement d’emplois d’artistes par les outils d’intelligence artificielle, dans une lettre adressée au ministère de la Culture.
Là où ça me fume, c’est que du côté des auteurs amateurs, la tentation de l’IA est devenue omniprésente. Que ce soit en raccourci pour pondre des inanités à la chaîne et prétendre à une productivité fantoche, pour esquisser une intrigue et pallier un manque d’imagination, ou pour combler les lacunes dans les branches parallèles, surtout l’illustration. Ils refusent d’admettre à quel point ils contribuent à s’entretirer dans les pattes parce que la flemme ou la vénalité sont plus fortes. Récemment, j’ai quand même lu quelqu’un proposer de passer par DeepL pour traduire de la poésie.